La Toussuire - Plan de la Guerre - Col du Marolay
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La Toussuire - Plan de la Guerre - Col du Marolay
Une boucle autour de la Toussuire (partie 1)
Date: 9 août 2021
Niveau: marche facile
Dénivelé et distance: 600 m depuis la Toussuire pour 9,25 km environ. Possibilité de variantes plus ou moins longues (notamment au niveau du Plan de la Guerre)
Temps: une demi-journée (2h30 ici) à une journée en fonction de votre rythme
On quitte La Toussuire par le chemin de Côte Ratel. On gagne ensuite le vallon de Comborsière par Comborsière (chemin relativement plat jusqu'au franchissement du ruisseau du Plan de la Guerre). On monte ensuite à la Croix de Coin Cavour par un chemin assez raide dans les arcosses (chemin parfois boueux donc glissant). Peu avant la croix, on pénètre dans les alpages et on gagne le Plan de la Guerre (comme son nom l'indique, c'est relativement plat). On pénètre alors au sein du domaine des Sybelles (du coup l'itinéraire perd de l'intérêt, mais pas la vue sur les sommets environnants).
On contourne le téléski du Plan de la Combe pour gagner le sommet du télésiège de la Pierre du Turc. On se rend ensuite par la crête à la Tête de Bellard. De la Tête de Bellard, on gagne le col du Marolay par un chemin peu agréable au début (on empreinte la piste), puis relativement pentu et glissant par la suite (deux chutes quand même). Du col, on regagne La Toussuire par un chemin assez large et qui n'a que peu d'intérêt vu qu'on se trouve au coeur du domaine skiable de la Toussuire.
N. Bouchaud août 2021 et juin 2022.
Sitographie:
- générateur de panoramas
- géol-alp
Date: 9 août 2021
Niveau: marche facile
Dénivelé et distance: 600 m depuis la Toussuire pour 9,25 km environ. Possibilité de variantes plus ou moins longues (notamment au niveau du Plan de la Guerre)
Temps: une demi-journée (2h30 ici) à une journée en fonction de votre rythme
Le parcours et le profil de dénivelé (image Google Earth, tracé emprunté, profil de l’ascension et principaux points de repère).
Le parcours sur Géoportail (carte IGN):
Le parcours sur Géoportail (carte IGN):
On quitte La Toussuire par le chemin de Côte Ratel. On gagne ensuite le vallon de Comborsière par Comborsière (chemin relativement plat jusqu'au franchissement du ruisseau du Plan de la Guerre). On monte ensuite à la Croix de Coin Cavour par un chemin assez raide dans les arcosses (chemin parfois boueux donc glissant). Peu avant la croix, on pénètre dans les alpages et on gagne le Plan de la Guerre (comme son nom l'indique, c'est relativement plat). On pénètre alors au sein du domaine des Sybelles (du coup l'itinéraire perd de l'intérêt, mais pas la vue sur les sommets environnants).
Le départ depuis le restaurant au bout de la route. En bas, le vallon de Comborsière. Pas loin du milieu de la photo, au dessus du vallon du Rieu Tord, l'Ouillon (2431 m). A sa droite, le Plan de la Guerre (avec en dessous le ruisseau du Plan de la Guerre).
Je m'approche du fond du vallon de Comborsière. On peut voir en face un chemin qui monte à flanc de montagne (panneau blanc): ce dernier sert pour vous entraîner au trail vu sa pente (je l'ai tenté un autre jour, et bien c'est raide!).
Alors que je regarde vers l'arrière, je retrouve le chemin que je viens de prendre (et la première partie plate). En ce qui me concerne, je suis dans une partie très pentue qui mène à la croix de Coin Cavour.
Je commence à sortir de la végétation ligneuse: bientôt les pelouses alpines.
La Toussuire est maintenant bien plus bas. Au loin les sommets au nord de la vallée de l'Arc. De gauche à droite: Grand Coin (2730 m), la Roche Violette (2631 m), le Mont Pourri (3779 m) bien plus loin, Mont Vallon (2768 m), Grand Bec (3398 m) bien plus loin, Cime Noire (2626 m), Grande Casse (3855 m) bien plus loin, Grand Perron des Encombres (2825 m), Pointe de la Masse (2804 m), Aiguille de Péclet (3561m), Cime de Caron (3195 m), Mont Brequin (3130 m).
Au dessus de cette pente bien ravinée, le Plan de l'Oullaz. L'ensemble est constitué de schistes et calcaires du Jurassique inférieur.
La croix de Coin Cavour et le Plan de la Guerre ne sont plus très loin.
La Pointe du Corbier (2265 m) avec ses remontées mécaniques sur la gauche. Derrière, de gauche à droite: la Pointe de Pierre Fondue (3037 m), l'Aiguille de l'Epaisseur (3230 m), la Tête de Chat ou Aiguille Septentrionale d'Arves (3364 m), l'Aiguille centrale d'Arves (3513 m), l'Aiguille méridionale d'Arves (3514 m), les Aiguilles Orientale (3323 m), Centrale (3361 m) et Occidentale (3340 m) de la Saussaz, la Pointe Nérot (3538 m) plus loin, le Pic Gaspard (3881 m), la Meije (3982 m), la Cime des Torches (2958 m) et un bout du Dôme de la Lauze (3568 m).
De nouveau un regard vers le fond de la Maurienne (direction est). On devine dans la brume du fond de vallée, la Rocciamelone (3538 m) en italien (ou Rochemelon en français) à presque 70 km, le Mont Giusalet (3312 m), la Pointe de Bramanette (3269 m), l'Aiguille de Scolette (3506 m). Tout à droite, plus proche de nous: Pointe d'Emy (2797 m) et la Grande Chible (2932 m).
Vers le nord cette fois-ci: le Grand Truc devant nous (2209 m). Bien plus loin derrière et à sa gauche, le Gros Villan (2746 m) qui fait a priori partie de la chaîne de la Lauzière, une partie du Mont Blanc caché par le Cheval Noir (2832 m), le Bellachat (2824 m) et ensuite les sommets mentionnés plus haut.
Et voilà la croix de Coin Cavour. On rejoint alors le Plan de la Guerre, et surtout le domaine skiable de la Toussuire.
Devant nous, une kyrielle de téléskis et la gare d'arrivée du télésiège de la Tête de Bellard.
Vers l'arrière: on retrouve les Aiguilles d'Arves, la Meije et le Dôme de la Lauze. Devant nous la clôture délimitant la pâture des moutons gardée par un "charmant' berger et ses "adorables" chiens à peine menaçants (surtout au niveau du aire de repos et de jeux pour les enfants).
Gros plan sur le glacier de la Girose et le glacier de Mont de Lans.
Le vallon de Comborsière vu du Plan de la Guerre.
Je m'approche du fond du vallon de Comborsière. On peut voir en face un chemin qui monte à flanc de montagne (panneau blanc): ce dernier sert pour vous entraîner au trail vu sa pente (je l'ai tenté un autre jour, et bien c'est raide!).
Alors que je regarde vers l'arrière, je retrouve le chemin que je viens de prendre (et la première partie plate). En ce qui me concerne, je suis dans une partie très pentue qui mène à la croix de Coin Cavour.
Je commence à sortir de la végétation ligneuse: bientôt les pelouses alpines.
La Toussuire est maintenant bien plus bas. Au loin les sommets au nord de la vallée de l'Arc. De gauche à droite: Grand Coin (2730 m), la Roche Violette (2631 m), le Mont Pourri (3779 m) bien plus loin, Mont Vallon (2768 m), Grand Bec (3398 m) bien plus loin, Cime Noire (2626 m), Grande Casse (3855 m) bien plus loin, Grand Perron des Encombres (2825 m), Pointe de la Masse (2804 m), Aiguille de Péclet (3561m), Cime de Caron (3195 m), Mont Brequin (3130 m).
Au dessus de cette pente bien ravinée, le Plan de l'Oullaz. L'ensemble est constitué de schistes et calcaires du Jurassique inférieur.
La croix de Coin Cavour et le Plan de la Guerre ne sont plus très loin.
La Pointe du Corbier (2265 m) avec ses remontées mécaniques sur la gauche. Derrière, de gauche à droite: la Pointe de Pierre Fondue (3037 m), l'Aiguille de l'Epaisseur (3230 m), la Tête de Chat ou Aiguille Septentrionale d'Arves (3364 m), l'Aiguille centrale d'Arves (3513 m), l'Aiguille méridionale d'Arves (3514 m), les Aiguilles Orientale (3323 m), Centrale (3361 m) et Occidentale (3340 m) de la Saussaz, la Pointe Nérot (3538 m) plus loin, le Pic Gaspard (3881 m), la Meije (3982 m), la Cime des Torches (2958 m) et un bout du Dôme de la Lauze (3568 m).
De nouveau un regard vers le fond de la Maurienne (direction est). On devine dans la brume du fond de vallée, la Rocciamelone (3538 m) en italien (ou Rochemelon en français) à presque 70 km, le Mont Giusalet (3312 m), la Pointe de Bramanette (3269 m), l'Aiguille de Scolette (3506 m). Tout à droite, plus proche de nous: Pointe d'Emy (2797 m) et la Grande Chible (2932 m).
Vers le nord cette fois-ci: le Grand Truc devant nous (2209 m). Bien plus loin derrière et à sa gauche, le Gros Villan (2746 m) qui fait a priori partie de la chaîne de la Lauzière, une partie du Mont Blanc caché par le Cheval Noir (2832 m), le Bellachat (2824 m) et ensuite les sommets mentionnés plus haut.
Et voilà la croix de Coin Cavour. On rejoint alors le Plan de la Guerre, et surtout le domaine skiable de la Toussuire.
Devant nous, une kyrielle de téléskis et la gare d'arrivée du télésiège de la Tête de Bellard.
Vers l'arrière: on retrouve les Aiguilles d'Arves, la Meije et le Dôme de la Lauze. Devant nous la clôture délimitant la pâture des moutons gardée par un "charmant' berger et ses "adorables" chiens à peine menaçants (surtout au niveau du aire de repos et de jeux pour les enfants).
Gros plan sur le glacier de la Girose et le glacier de Mont de Lans.
Le vallon de Comborsière vu du Plan de la Guerre.
On contourne le téléski du Plan de la Combe pour gagner le sommet du télésiège de la Pierre du Turc. On se rend ensuite par la crête à la Tête de Bellard. De la Tête de Bellard, on gagne le col du Marolay par un chemin peu agréable au début (on empreinte la piste), puis relativement pentu et glissant par la suite (deux chutes quand même). Du col, on regagne La Toussuire par un chemin assez large et qui n'a que peu d'intérêt vu qu'on se trouve au coeur du domaine skiable de la Toussuire.
La Grande Casse bien zoomée.
On la retrouve au centre de cette vue générale vers le nord-est.
Ici la vue légendée.
Là, on regarde vers l'ouest depuis la Tête de Bellard (2225 m). De gauche à droite: derrière le col de Bellard (2233 m), on devine le sommet des Rochers Rissiou (2607 m), le Rissiou (2622 m), le Grand Pic de Belledonne (2977 m), le Pic de l'Agnelin (2740 m), la Pyramide (2912 m), l'Aiguille d'Olle (2885 m) et la Cime du Sambuis (2734 m).
Suite du chaînon (plus vers le nord-ouest): Cime du Sambuis, Pic de la Grande Valloire (2887 m), Puy Gris (2908 m), Roc de Pellegrin (2763 m), Charmet de l'Aiguille (2826 m), le Grand Moretan (2775 m) et la Pointe de Villonet (2727 m). Tous ces sommets font partie de la Chaîne de Belledonne. Contrairement à la rive droite du Glandon (où je me trouve) qui est sédimentaire, ces sommets correspondent au socle cristallin (essentiellement granitique), d'où la nette différence de relief entre les deux rives de la vallée des Villards. A noter que la vallée du Glandon (du col à Saint-Colomban) suit exactement le tracé d'une faille.
Et voici la fin en direction du nord-ouest: Pointe de Villonet, Rochers du Vallorin (2593 m), Clocher du Frêne (2789 m) et Pic du Frêne (2807 m), le Grand Miceau (2619 m), les Clochers des Pères (2418 m) plus en avant. A droite, derrière la barrière bloque-neige, le Petit (2365 m) et le Grand Arc (2484 m)
Depuis la Tête de Bellard, on domine la Toussuire et la vallée de la Maurienne. A droite, l'arrivée du télésiège un peu plus au fond correspond à la Grande Verdette.
En redescendant vers le col du Marolay, on est sur la crête. En contrebas, c'est Saint-Colomban-des-Villards.
La descente, parfois pentue, vers le col du Marolay (2000 m). Derrière, le col du Chaput (2004 m) puis le Grand Truc (2209 m)
Un regard en arrière: la Tête de Bellard est au niveau de l'arrivée du télésiège de la droite de la photo. Pour celui de l'extrême gauche, c'est la Grande Verdette.
On la retrouve au centre de cette vue générale vers le nord-est.
Ici la vue légendée.
Là, on regarde vers l'ouest depuis la Tête de Bellard (2225 m). De gauche à droite: derrière le col de Bellard (2233 m), on devine le sommet des Rochers Rissiou (2607 m), le Rissiou (2622 m), le Grand Pic de Belledonne (2977 m), le Pic de l'Agnelin (2740 m), la Pyramide (2912 m), l'Aiguille d'Olle (2885 m) et la Cime du Sambuis (2734 m).
Suite du chaînon (plus vers le nord-ouest): Cime du Sambuis, Pic de la Grande Valloire (2887 m), Puy Gris (2908 m), Roc de Pellegrin (2763 m), Charmet de l'Aiguille (2826 m), le Grand Moretan (2775 m) et la Pointe de Villonet (2727 m). Tous ces sommets font partie de la Chaîne de Belledonne. Contrairement à la rive droite du Glandon (où je me trouve) qui est sédimentaire, ces sommets correspondent au socle cristallin (essentiellement granitique), d'où la nette différence de relief entre les deux rives de la vallée des Villards. A noter que la vallée du Glandon (du col à Saint-Colomban) suit exactement le tracé d'une faille.
Et voici la fin en direction du nord-ouest: Pointe de Villonet, Rochers du Vallorin (2593 m), Clocher du Frêne (2789 m) et Pic du Frêne (2807 m), le Grand Miceau (2619 m), les Clochers des Pères (2418 m) plus en avant. A droite, derrière la barrière bloque-neige, le Petit (2365 m) et le Grand Arc (2484 m)
Depuis la Tête de Bellard, on domine la Toussuire et la vallée de la Maurienne. A droite, l'arrivée du télésiège un peu plus au fond correspond à la Grande Verdette.
En redescendant vers le col du Marolay, on est sur la crête. En contrebas, c'est Saint-Colomban-des-Villards.
La descente, parfois pentue, vers le col du Marolay (2000 m). Derrière, le col du Chaput (2004 m) puis le Grand Truc (2209 m)
Un regard en arrière: la Tête de Bellard est au niveau de l'arrivée du télésiège de la droite de la photo. Pour celui de l'extrême gauche, c'est la Grande Verdette.
N. Bouchaud août 2021 et juin 2022.
Sitographie:
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