Le Monêtier - cols de l'Eychauda et du Grand Pré
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Le Monêtier - cols de l'Eychauda et du Grand Pré
Le Monêtier - col de l’Eychauda - col de la Cucumelle - Col du Grand Pré
Date: 8 août 2023
Niveau: bon marcheur
Dénivelé et distance: 1200 m environ pour 15 km
Temps: journée
Re: Le Monêtier - cols de l'Eychauda et du Grand Pré
Le départ s’effectue via le GR54, à proximité des grands bains, sur la rive droite de la Guisane. On loge les derniers (luxueux) logements du Monêtier, puis on emprunte furtivement la fin de la piste de ski “la route des espagnols”, avant d’obliquer sur la droite, toujours via le GR54. La véritable montée débute alors. On passe à côté du hameau de Charvet, puis on continue dans les bois en direction du sud.
Nous quittons alors le GR54 aux alentours de la cote 1780 m, pour emprunter le sentier de découverte (les deux chemins sont parallèles). La pente devient alors beaucoup plus prononcée, et nous perdons le bon chemin (enfin celui qui est bien en évidence sur la carte IGN), pour faire un petit crochet via la cote 1832 m sur la carte IGN. Le chemin reprend ensuite la bonne direction pour retrouver le sentier de découverte. C’était peut-être un mal pour un bien puisque le chemin perdu semblait un peu acrobatique!
On passe ensuite par le clot du Retour, puis on atteint la Crête des Lauzières. La pente est relativement régulière. Au niveau de la crête, on retrouve des aménagements (notamment des panneaux donnant des indications géologiques précises): on a en fait rejoint le chemin de raquettes hivernal accessible via le télésiège du Bachas.
A partir de là, le chemin est beaucoup plus facile, et on rejoint le Bachas par la crête (un conseil: ne pas quitter le chemin car il y a quelques pièges dans l’herbe).
Au niveau du Bachas, on rejoint le domaine skiable du Monêtier: c’est donc nettement moins agréable. On retrouve alors le GR54 que nous empruntons, et qui passe sous le télésiège de l’Eychauda et qui remonte la piste de Combe Râteau. C’est la partie la moins agréable du trajet car nous sommes en plein soleil, et la végétation arbustive devient vite inexistante! Le col de l’Eychauda est en vue dans toute la remontée du vallon, et la pente augmente au fur et à mesure. Le chemin est maintenat sur la piste de l’Eychauda et longe la retenue collinaire, puis on atteint enfin le col. Arrivé à ce dernier, la vue se dégage mais en montant davantage, on peut encore avoir une meilleure vue: on part donc en direction du col de la Cucumelle très proche (et visible). Là encore, la remontée se fait via la piste de ski. Le col de la Cucumelle est vite atteint et l’on peut profiter des aménagements utiles en hiver (tables pour pique-niquer, transats... Bref, c’est bien agréable. Par ailleurs, la vue porte assez loin sur le vallon de Vallouise.
Une fois la pause repas effectuée, nous poursuivons notre ascension vers le col du Grand Pré, et bonne nouvelle, on quitte le domaine skiable. Le début du chemin est identique à celui atteignant le sommet de la Cucumelle (pour une prochaine fois), puis on oblique rapidement à droite. On attend rapidement le point culminant de l’ascension, puisque peu avant le col du Grand Pré on redescend un peu. Des crottes fraîches de moutons attestent de leur présence récente. Nous les apercevrons une fois le col passé, mais un peu plus en amont, sur les pentes de la Cucumelle: on échappera donc au patou (ce qui n’a pas été le cas des gens peu avant nous).
Dernière pause, puis début de la descente dans le vallon, sous les Roches Corneille (joli itinéraire de descente, bien en dehors du domaine skiable). La pente est soutenue. On repasse assez rapidement dans les arbres alors que la pente est soutenue (attention aux glissades). On reste en fait en rive droite du torrent de Chanteloube, dont le lit est infranchissable suite au ravinement important). On finira par le franchir bien plus en aval. Très rapidement après, on retrouve la piste 4x4 située sur les pistes du domaine skiable (qu’on ne quittera plus jusqu’à la fin) pas très loin du Clot de la Chaume. On suit ensuite la piste 4x4 jusqu’à Peyra Juana (il est possible de couper parfois via les pistes de ski). Le retour à notre point de départ se fait via la piste de ski “la route des espagnols” qui est en fait la piste de 4x4.
Sitographie:
- Générateur de panoramas
- Géoportail
- Geol-alp
Logiciel:
- Google Earth
N. Bouchaud août 2023
Depuis notre point de départ, un panorama vers le sud, avec le col de Grand Pré (pas celui au centre de la photo, mais un peu plus à gauche). Sinon, si l’on balaye le panorama de gauche à droite, on voit les Roches Corneille (2484 m), la Tête du Grand Pré (2599 m), le col du Grand Pré (2544 m), et un sommet triangulaire qui correspond aux contreforts de la Cucumelle (2698 m) dont le sommet réel est masqué. Sur l’ensemble de la droite de la photographie, ce n’est pas un sommet: c’est le Clot du Retour et la Crête des Lauzières (en fait, nous allons cheminer par-là).
Le début du chemin grimpe tout de suite en forêt (ici, sur les pentes de Charvet). Il s’agit du GR54.
Nous sommes aux environs de 1600 m d’altitude, à Charvet, ici avec sa chapelle. Pour l’anecdote, il y avait un téléski se la station du Monêtier qui arrivait là jadis. A l’arrière-plan vers le nord-est, et de gauche à droite: la Benoîte qui occupe presque la moitié de la photographie (2807 m), les Rochers de Privé (2843 à 2898 m) et la Tête Noire (2922 m). A l’extrême droite, les premières pentes du Grand Aréa.
Photo 4. Rapidement, on se trouve au-dessus du vallon du Grand Tabuc. Joli contraste entre forêt et sommets rocheux (en direction du Dôme de Monêtier (3404 m) au centre de l'image).
Photo 5. Un joli rocher qui nous surplombe, et dont le mélèze doit contourner. Nous sommes encore sur le GR 54.
Le début du chemin grimpe tout de suite en forêt (ici, sur les pentes de Charvet). Il s’agit du GR54.
Nous sommes aux environs de 1600 m d’altitude, à Charvet, ici avec sa chapelle. Pour l’anecdote, il y avait un téléski se la station du Monêtier qui arrivait là jadis. A l’arrière-plan vers le nord-est, et de gauche à droite: la Benoîte qui occupe presque la moitié de la photographie (2807 m), les Rochers de Privé (2843 à 2898 m) et la Tête Noire (2922 m). A l’extrême droite, les premières pentes du Grand Aréa.
Photo 4. Rapidement, on se trouve au-dessus du vallon du Grand Tabuc. Joli contraste entre forêt et sommets rocheux (en direction du Dôme de Monêtier (3404 m) au centre de l'image).
Photo 5. Un joli rocher qui nous surplombe, et dont le mélèze doit contourner. Nous sommes encore sur le GR 54.
Nous quittons alors le GR54 aux alentours de la cote 1780 m, pour emprunter le sentier de découverte (les deux chemins sont parallèles). La pente devient alors beaucoup plus prononcée, et nous perdons le bon chemin (enfin celui qui est bien en évidence sur la carte IGN), pour faire un petit crochet via la cote 1832 m sur la carte IGN. Le chemin reprend ensuite la bonne direction pour retrouver le sentier de découverte. C’était peut-être un mal pour un bien puisque le chemin perdu semblait un peu acrobatique!
On passe ensuite par le clot du Retour, puis on atteint la Crête des Lauzières. La pente est relativement régulière. Au niveau de la crête, on retrouve des aménagements (notamment des panneaux donnant des indications géologiques précises): on a en fait rejoint le chemin de raquettes hivernal accessible via le télésiège du Bachas.
A partir de là, le chemin est beaucoup plus facile, et on rejoint le Bachas par la crête (un conseil: ne pas quitter le chemin car il y a quelques pièges dans l’herbe).
Toujours le vallon du Grand Tabuc, mais cette fois on peut mieux le contempler. Ici, une vue vers l’ouest sud-ouest, avec de gauche à droite: Pic Gardiner (3440 m) en partie coupé, Dôme de Monêtier (en partie caché), les contreforts du Pic de Dormillouse (3410 m), un fragment du glacier du Monêtier, la Roche des Agneaux (2925 m), le Pic des Prés les Fonts (3358 m), les Pics du Casset (3257 m) et enfin les Têtes de Sainte Marguerite (2796 m) en partie cachées. Ce sont les chalets des Grangettes que l’on voit dans le vallon du Grand Tabuc.
Nous sommes à proximité du belvédère de la Crête des Lauzières. Ici une vue vers le nord, en direction du fond de la vallée de la Guisane. On reconnait aisément l’Aiguille Méridionale d’Arves (3514 m), l’Aiguille Centrale d’Arves (3513 m), le col du Galibier (2642 m), le Grand Galibier (3228 m).
Au niveau du belvédère de la Crête des Lauzières. Au sud de notre position, la Pointe des Neyzets (2736 m), le Rocher de l’Yret (2830 m), la Croix de Cibouit (2611 m).
Au nord, de gauche à droite: au loin, le Pic de la Moulinière (3073 m) et la Pointe des Cerces (3098 m). Plus proche, la Crête du Chardonnet (2785 m), le col du Raisin (2691 m), la Benoîte, la Crête du Raisin (2818 m), les Rochers de Privé et Tête Noire. En bas, le Monêtier-les-Bains.
De nouveau en direction du col du Galibier. Au-dessus du Mélèze de gauche, Pic Est de Combeynot (3145 m), Roche de la Gardette (3049 m), Aiguilles d’Arves, Petit Galibier (2765 m), Grand Galibier, Pic de la Ponsonnière (2871 m,) Roche Colombe (2832 m), Aiguillette du Lauzet (2717 m), Pic de la Moulinière, Pointe des Cerces, Crête du Chardonnet, col du Raisin.
Vers l’est: Roches Corneille, Tête du Grand Pré, col du Grand Pré et Cucumelle dans le Mélèze. Tout à gauche, bien plus loin, c’est la Cime de Chabrière (3246 m), à une trentaine de km et qui marque la frontière franco-italienne.
La suite de l’image précédente, plus vers le sud. La Cucumelle, le col de l’Eychauda (2431 m), notre prochaine destination, puis la Pointe des Neyzets.
D’un peu plus haut, en direction du nord-est. De gauche à droite, le Grand Aréa (2869 m), et plus loin la Pointe des Rochers Charniers (3056 m), la Pointe des Trois Scies (3032 m), le col de Granon (2404 m) un peu devant, le Grand Meyret (2516 m), le Mont Chaberton (3131 m) bien visible, la Croix de la Cîme (2606 m), la Grande Peyrolle (2645 m) et la Petite Peyrolle (2618 m).
Nous arrivons au Bachas, et nous pénétrons alors dans le domaine skiable du Monêtier. Au centre, la Cucumelle; et à sa droite le col de l’Eychauda.
Nous sommes à proximité du belvédère de la Crête des Lauzières. Ici une vue vers le nord, en direction du fond de la vallée de la Guisane. On reconnait aisément l’Aiguille Méridionale d’Arves (3514 m), l’Aiguille Centrale d’Arves (3513 m), le col du Galibier (2642 m), le Grand Galibier (3228 m).
Au niveau du belvédère de la Crête des Lauzières. Au sud de notre position, la Pointe des Neyzets (2736 m), le Rocher de l’Yret (2830 m), la Croix de Cibouit (2611 m).
Au nord, de gauche à droite: au loin, le Pic de la Moulinière (3073 m) et la Pointe des Cerces (3098 m). Plus proche, la Crête du Chardonnet (2785 m), le col du Raisin (2691 m), la Benoîte, la Crête du Raisin (2818 m), les Rochers de Privé et Tête Noire. En bas, le Monêtier-les-Bains.
De nouveau en direction du col du Galibier. Au-dessus du Mélèze de gauche, Pic Est de Combeynot (3145 m), Roche de la Gardette (3049 m), Aiguilles d’Arves, Petit Galibier (2765 m), Grand Galibier, Pic de la Ponsonnière (2871 m,) Roche Colombe (2832 m), Aiguillette du Lauzet (2717 m), Pic de la Moulinière, Pointe des Cerces, Crête du Chardonnet, col du Raisin.
Vers l’est: Roches Corneille, Tête du Grand Pré, col du Grand Pré et Cucumelle dans le Mélèze. Tout à gauche, bien plus loin, c’est la Cime de Chabrière (3246 m), à une trentaine de km et qui marque la frontière franco-italienne.
La suite de l’image précédente, plus vers le sud. La Cucumelle, le col de l’Eychauda (2431 m), notre prochaine destination, puis la Pointe des Neyzets.
D’un peu plus haut, en direction du nord-est. De gauche à droite, le Grand Aréa (2869 m), et plus loin la Pointe des Rochers Charniers (3056 m), la Pointe des Trois Scies (3032 m), le col de Granon (2404 m) un peu devant, le Grand Meyret (2516 m), le Mont Chaberton (3131 m) bien visible, la Croix de la Cîme (2606 m), la Grande Peyrolle (2645 m) et la Petite Peyrolle (2618 m).
Nous arrivons au Bachas, et nous pénétrons alors dans le domaine skiable du Monêtier. Au centre, la Cucumelle; et à sa droite le col de l’Eychauda.
Au niveau du Bachas, on rejoint le domaine skiable du Monêtier: c’est donc nettement moins agréable. On retrouve alors le GR54 que nous empruntons, et qui passe sous le télésiège de l’Eychauda et qui remonte la piste de Combe Râteau. C’est la partie la moins agréable du trajet car nous sommes en plein soleil, et la végétation arbustive devient vite inexistante! Le col de l’Eychauda est en vue dans toute la remontée du vallon, et la pente augmente au fur et à mesure. Le chemin est maintenat sur la piste de l’Eychauda et longe la retenue collinaire, puis on atteint enfin le col. Arrivé à ce dernier, la vue se dégage mais en montant davantage, on peut encore avoir une meilleure vue: on part donc en direction du col de la Cucumelle très proche (et visible). Là encore, la remontée se fait via la piste de ski. Le col de la Cucumelle est vite atteint et l’on peut profiter des aménagements utiles en hiver (tables pour pique-niquer, transats... Bref, c’est bien agréable. Par ailleurs, la vue porte assez loin sur le vallon de Vallouise.
Le début de la montée vers le col de l’Eychauda. Nous remontons la piste de ski. On reconnait la Pointe des Neyzets et le Rocher de l’Yret à sa droite (point culminant du domaine skiable).
Sur la droite du Rocher de l’Yret, le Roc de la Montagnole (2828 m) et le Pic Gardiner (3440 m).
Un troupeau de vaches en train de paitre sur la piste: un peu de nature dans ce milieu anthropisé.
La remontée de la piste de l’Eychauda sous le télésiège éponyme n’est guère palpitante. Et il fait chaud sans ombre! Au fond le col de l’Eychauda.
Plus haut, au niveau du col de l’Eychauda (2431 m): un regard en arrière en direction du Grand Galibier. Au premier plan, la retenue collinaire. A gauche du Grand Galibier, un fragment de l’Aiguille de l’Epaisseur (3230 m). Les autres sommets ont déjà été plus ou moins identifiés (Tête de Colombe, Pic de la Ponsonnière, Roche Colombe, Pointe d’Orient (2949 m), Aiguillette du Lauzet, Pic de la Moulinière, Pointe des Cerces, Tête de la Cassille (3069 m), la Benoîte.
Devant nous, à l’est, le col de la Cucumelle (on remonte encore une piste pour l’atteindre). On reste définitivement dans le domaine skiable. Tout à droite, Roche Gauthier (2625 m).
Sur le chemin du col de la Cucumelle (2501 m), en direction du sud, de gauche à droite: Roche Gauthier (2625 m), la Cime de la Condamine qui ressemble à un gros mamelon (2940 m). Plus dans le lointain, on retrouve notamment la Crête de Rougnoux (3003 m), la Tête de Vautisse (3156 m), l'Etoile (3066 m), la Tête de Dormillouse (3085 m), le Pic Godefroy (3192 m), la Tête de la Canonnière (3219 m), la Tête de Soulaure ou Pic Félix Neff (3243 m), la Pointe de l’Aiglière (3307 m, le triangle de droite).
Les mêmes sommets vus du belvédère installé au col (zone de barbecue de l'hiver). A droite de la Pointe de l’Aiglière, on trouve la Blanche (2953 m), la Pointe de Clapouse (2988 m), la Pointe du Rascrouset (3082 m), la Pointe Guyard (3461 m).
Devant nous, la Cucumelle (et le chemin qui y mène, mais ce sera pour un autre jour). La Cucumelle tire son nom de son aspect conique et est uniformément formée de "marbres en plaquettes" d’âge Crétacé. On retrouve aussi les Aiguilles d’Arves au loin à gauche. On devine le chemin qui part vers le col du Grand Pré à partir de celui de la Cucumelle. Nous allons enfin quitter le domaine skiable.
Nous sommes toujours au col. Voici la suite du panorama (on peut faire un 360°). Vers le nord-est, de gauche à droite (comme sur toutes les images): Tête du Grand Pré (2599 m), Grand Aréa (qui cache l'Aiguille de Scolette derrière), Rognosa d'Etache (3373 m) très loin à la frontière entre Maurienne et Italie, la Gardiole (2753 m), Roche Gauthier (2748 m) dans la vallée de la Clarée et qu’il ne faut pas confondre avec celle à côté de nous, Aiguille d’Arbour (2801 m) à la frontière italienne, Pointe de Pécé (2733 m), Roche des Prés (2888 m), Pointe des Grands Becs ou Pointe de Chalance Ronde (3042 m) toujours à la frontière, Pointe des Trois Scies et Mont Chaberton tout à droite.
Vers l’est. Mont Chaberton, Gande Peyrolle, Petite Peyrolle (Saint Chaffrey et Briançon en dessous), Punta Rognosa (3280 m) vers Sestrière derrière, Roc del Boucher (3285 m) et de nombreux autres sommets autour, Cime de Chabrières (3246 m) à la frontière, Sommet du Prorel (2566 m) proche de nous, Pic de Rochebrune (3320 m) derrière, à sa droite, et bien entendu le Mont Viso (3841 m). Je passe les autres (trop) nombreux sommets!
Plus vers le sud. On retrouve le Mont Viso, et tout proche de nous, Roche Gauthier et la Cime de la Condamine.
Vers l’ouest. Le Pic de Clouzis (3465 m), le Pic Gardiner (3440 m), le Dôme de Monêtier (3404 m), le Rocher de l'Yret tout proche, la Montagne des Agneaux (3664 m) et la Roche de Jabel (3570 m).
Un zoom vers l’est pour me faire plaisir (car c’est ma prochaine randonnée): devant l’arrière-plan, le Sommet de Château Jouan (2565 m) et le Janus, le Chenaillet (2650 m) et la Montagne des Anges (2459 m). Ce sont des sommets à proximité de Montgenèvre.
Sur la droite du Rocher de l’Yret, le Roc de la Montagnole (2828 m) et le Pic Gardiner (3440 m).
Un troupeau de vaches en train de paitre sur la piste: un peu de nature dans ce milieu anthropisé.
La remontée de la piste de l’Eychauda sous le télésiège éponyme n’est guère palpitante. Et il fait chaud sans ombre! Au fond le col de l’Eychauda.
Plus haut, au niveau du col de l’Eychauda (2431 m): un regard en arrière en direction du Grand Galibier. Au premier plan, la retenue collinaire. A gauche du Grand Galibier, un fragment de l’Aiguille de l’Epaisseur (3230 m). Les autres sommets ont déjà été plus ou moins identifiés (Tête de Colombe, Pic de la Ponsonnière, Roche Colombe, Pointe d’Orient (2949 m), Aiguillette du Lauzet, Pic de la Moulinière, Pointe des Cerces, Tête de la Cassille (3069 m), la Benoîte.
Devant nous, à l’est, le col de la Cucumelle (on remonte encore une piste pour l’atteindre). On reste définitivement dans le domaine skiable. Tout à droite, Roche Gauthier (2625 m).
Sur le chemin du col de la Cucumelle (2501 m), en direction du sud, de gauche à droite: Roche Gauthier (2625 m), la Cime de la Condamine qui ressemble à un gros mamelon (2940 m). Plus dans le lointain, on retrouve notamment la Crête de Rougnoux (3003 m), la Tête de Vautisse (3156 m), l'Etoile (3066 m), la Tête de Dormillouse (3085 m), le Pic Godefroy (3192 m), la Tête de la Canonnière (3219 m), la Tête de Soulaure ou Pic Félix Neff (3243 m), la Pointe de l’Aiglière (3307 m, le triangle de droite).
Les mêmes sommets vus du belvédère installé au col (zone de barbecue de l'hiver). A droite de la Pointe de l’Aiglière, on trouve la Blanche (2953 m), la Pointe de Clapouse (2988 m), la Pointe du Rascrouset (3082 m), la Pointe Guyard (3461 m).
Devant nous, la Cucumelle (et le chemin qui y mène, mais ce sera pour un autre jour). La Cucumelle tire son nom de son aspect conique et est uniformément formée de "marbres en plaquettes" d’âge Crétacé. On retrouve aussi les Aiguilles d’Arves au loin à gauche. On devine le chemin qui part vers le col du Grand Pré à partir de celui de la Cucumelle. Nous allons enfin quitter le domaine skiable.
Nous sommes toujours au col. Voici la suite du panorama (on peut faire un 360°). Vers le nord-est, de gauche à droite (comme sur toutes les images): Tête du Grand Pré (2599 m), Grand Aréa (qui cache l'Aiguille de Scolette derrière), Rognosa d'Etache (3373 m) très loin à la frontière entre Maurienne et Italie, la Gardiole (2753 m), Roche Gauthier (2748 m) dans la vallée de la Clarée et qu’il ne faut pas confondre avec celle à côté de nous, Aiguille d’Arbour (2801 m) à la frontière italienne, Pointe de Pécé (2733 m), Roche des Prés (2888 m), Pointe des Grands Becs ou Pointe de Chalance Ronde (3042 m) toujours à la frontière, Pointe des Trois Scies et Mont Chaberton tout à droite.
Vers l’est. Mont Chaberton, Gande Peyrolle, Petite Peyrolle (Saint Chaffrey et Briançon en dessous), Punta Rognosa (3280 m) vers Sestrière derrière, Roc del Boucher (3285 m) et de nombreux autres sommets autour, Cime de Chabrières (3246 m) à la frontière, Sommet du Prorel (2566 m) proche de nous, Pic de Rochebrune (3320 m) derrière, à sa droite, et bien entendu le Mont Viso (3841 m). Je passe les autres (trop) nombreux sommets!
Plus vers le sud. On retrouve le Mont Viso, et tout proche de nous, Roche Gauthier et la Cime de la Condamine.
Vers l’ouest. Le Pic de Clouzis (3465 m), le Pic Gardiner (3440 m), le Dôme de Monêtier (3404 m), le Rocher de l'Yret tout proche, la Montagne des Agneaux (3664 m) et la Roche de Jabel (3570 m).
Un zoom vers l’est pour me faire plaisir (car c’est ma prochaine randonnée): devant l’arrière-plan, le Sommet de Château Jouan (2565 m) et le Janus, le Chenaillet (2650 m) et la Montagne des Anges (2459 m). Ce sont des sommets à proximité de Montgenèvre.
Une fois la pause repas effectuée, nous poursuivons notre ascension vers le col du Grand Pré, et bonne nouvelle, on quitte le domaine skiable. Le début du chemin est identique à celui atteignant le sommet de la Cucumelle (pour une prochaine fois), puis on oblique rapidement à droite. On attend rapidement le point culminant de l’ascension, puisque peu avant le col du Grand Pré on redescend un peu. Des crottes fraîches de moutons attestent de leur présence récente. Nous les apercevrons une fois le col passé, mais un peu plus en amont, sur les pentes de la Cucumelle: on échappera donc au patou (ce qui n’a pas été le cas des gens peu avant nous).
Le chemin vers le col du Grand Pré (2544 m), juste après avoir quitté celui de la Cucumelle.
Le col du Grand Pré est en vue! Il est dominé sur sa droite par la Tête du Grand Pré. En arrière-plan, la Benoîte, la Pointe de Terre Rouge (3080 m), le Pic du Thabor (3207 m), le Mont Thabor (3178 m), les Rochers de Privé, Tête Noire, Roche Bernaude (3222 m), Pointe Balthazar (3153 m), Pointe Melchior (2948 m) et Pointe Gaspard (2808 m) tous les quatre à la frontière. A droite de la Tête du Grand Pré, le Grand Aréa, la Gardiole et Roche Gauthier (on voit même Rochemelon ou Rocciamelone entre les deux, sommet qui est pourtant à plus de 50 km, et qui domine Suse).
Nous sommes au col: voici une vue sur les vallées de la Guisane et de la Durance à l’extrême droite. On retrouve les sommets déjà mentionnés: Roche des Prés, col de Granon, Pointe des Grands Becs, Mont Chaberton, Punta Rognosa, Grande et Petite Peyrolle, Roc Del Boucher, Chenaillet, Cime de Chabrières...
Et en continuant vers le sud-est, Cime de Chabrières, Pic de Rochebrune, Mont Viso, Sommet du Prorel et Rocher Blanc (2503 m) plus en avant-plan. De nouveau derrière, le Pic de Peyre Eyraute (2903 m). Plus en avant-plan, on distingue aussi le sommet de Serre Chevalier (2491 m). Il y a de très nombreux sommets en fait: il faut dire que le ciel est très limpide.
En zoomant, on ne présente plus les Aiguilles d’Arves (on les distingue toutes cette fois-ci: la Méridionale, la Centrale et la Tête de Chat (3364 m) ou Aiguille Septentrionale. On contemple aussi l’Aiguille d’Argentière (3237 m), l’Aiguille de l’Epaisseur et le Grand Galibier.
Le Monêtier, juste en dessous.
Suite de la photographie précédente. La Benoîte, Tête Noire, Aiguille de Scolette. Tout à droite, proches de nous, ce sont les Roches Corneille.
Derrière nous, la Cucumelle.
Comme beaucoup d’images sont identiques aux précédentes, je vous présente celle-là: le col de la Cucumelle est derrière nous, pas bien loin.
Le col du Grand Pré est en vue! Il est dominé sur sa droite par la Tête du Grand Pré. En arrière-plan, la Benoîte, la Pointe de Terre Rouge (3080 m), le Pic du Thabor (3207 m), le Mont Thabor (3178 m), les Rochers de Privé, Tête Noire, Roche Bernaude (3222 m), Pointe Balthazar (3153 m), Pointe Melchior (2948 m) et Pointe Gaspard (2808 m) tous les quatre à la frontière. A droite de la Tête du Grand Pré, le Grand Aréa, la Gardiole et Roche Gauthier (on voit même Rochemelon ou Rocciamelone entre les deux, sommet qui est pourtant à plus de 50 km, et qui domine Suse).
Nous sommes au col: voici une vue sur les vallées de la Guisane et de la Durance à l’extrême droite. On retrouve les sommets déjà mentionnés: Roche des Prés, col de Granon, Pointe des Grands Becs, Mont Chaberton, Punta Rognosa, Grande et Petite Peyrolle, Roc Del Boucher, Chenaillet, Cime de Chabrières...
Et en continuant vers le sud-est, Cime de Chabrières, Pic de Rochebrune, Mont Viso, Sommet du Prorel et Rocher Blanc (2503 m) plus en avant-plan. De nouveau derrière, le Pic de Peyre Eyraute (2903 m). Plus en avant-plan, on distingue aussi le sommet de Serre Chevalier (2491 m). Il y a de très nombreux sommets en fait: il faut dire que le ciel est très limpide.
En zoomant, on ne présente plus les Aiguilles d’Arves (on les distingue toutes cette fois-ci: la Méridionale, la Centrale et la Tête de Chat (3364 m) ou Aiguille Septentrionale. On contemple aussi l’Aiguille d’Argentière (3237 m), l’Aiguille de l’Epaisseur et le Grand Galibier.
Le Monêtier, juste en dessous.
Suite de la photographie précédente. La Benoîte, Tête Noire, Aiguille de Scolette. Tout à droite, proches de nous, ce sont les Roches Corneille.
Derrière nous, la Cucumelle.
Comme beaucoup d’images sont identiques aux précédentes, je vous présente celle-là: le col de la Cucumelle est derrière nous, pas bien loin.
Dernière pause, puis début de la descente dans le vallon, sous les Roches Corneille (joli itinéraire de descente, bien en dehors du domaine skiable). La pente est soutenue. On repasse assez rapidement dans les arbres alors que la pente est soutenue (attention aux glissades). On reste en fait en rive droite du torrent de Chanteloube, dont le lit est infranchissable suite au ravinement important). On finira par le franchir bien plus en aval. Très rapidement après, on retrouve la piste 4x4 située sur les pistes du domaine skiable (qu’on ne quittera plus jusqu’à la fin) pas très loin du Clot de la Chaume. On suit ensuite la piste 4x4 jusqu’à Peyra Juana (il est possible de couper parfois via les pistes de ski). Le retour à notre point de départ se fait via la piste de ski “la route des espagnols” qui est en fait la piste de 4x4.
Le début de la descente vers le Monêtier: nous sommes cette fois-ci du côté ubac. Très rapidement les éboulis du sommet font place aux alpages (là où paissent les moutons que l’on distingue d’ailleurs tout en haut, sur la droite de la photographie).
Le col est tout en haut, derrière nous. La végétation devient maintenant arbustive. A noter que géologiquement parlant, le col de Grand Pré représente une surface de chevauchement.
Au pied de la Cucumelle, la face nord est bien ravinée!
Les Roches Corneille.
On a maintenant rejoint les pistes du Monêtier.
Le col est tout en haut, derrière nous. La végétation devient maintenant arbustive. A noter que géologiquement parlant, le col de Grand Pré représente une surface de chevauchement.
Au pied de la Cucumelle, la face nord est bien ravinée!
Les Roches Corneille.
On a maintenant rejoint les pistes du Monêtier.
Sitographie:
- Générateur de panoramas
- Géoportail
- Geol-alp
Logiciel:
- Google Earth
N. Bouchaud août 2023
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